La hausse des prix dans l’immobilier, s’est poursuivit, en octobre 2019 selon le baromètre LPI/Se Loger.
Cette hausse moyenne des prix, des appartements anciens est de +0,9% des prix signés sur les trois derniers mois. Cette hausse est l’une des conséquences de la politique monétaire de taux bas, pratiqué par la BCE. Elle se concrétise par des taux d’emprunts extrêmement attractif pour les emprunteurs de la part des services bancaires.
Cette politique de taux bas continuent de produire ses effets de soutient à l’économie. Et cela participent ainsi à l’engouement d’achat des résidences principales, mais aussi à soutenir les projets d’investissements locatifs.
En effet, rien que sur le 2ème trimestre 2019, 33 900 logements neufs ont été vendus en France.
A noter tout de même que sur un an, la hausse des prix signés est en moyenne de +3,9%. Certaine villes comme Le Havre voit les prix des actes progresser de +19%. A Toulon les prix ont augmenté de +9,5 % et de +8% à Saint-Etienne. Quant à Paris, la ville affiche un léger recul de -0,2% des prix des signés. Mais la capital à tout de même atteins des sommets en août 2019 en dépassant les 10 000€ du m² par endroit.
Hausse de prix de l’immobilier le secteur progresse
Les taux historiquement bas des ses dernières années ne favorise pas la performance des placements financiers. En revanche ils ont le mérite de porter l’activité immobilière et les investissements avec au final quelques promesses de plus values à terme.
L’INSEE confirme la hausse des prix des logements anciens, notamment ceux des appartements, suite à l’actualisation de son fichier des données complémentaires.
Source: Se loger/LPI, INSEE. Rédacteur : Damien PATOZ